RENAISSANCE DU CONGO (12.D.G.P.D)

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SASSOU LE STRATEGE

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Violation de l'embargo sur l'exportation d'armes nord coréennes par le Congo ?

L'Afrique du sud informe l'ONU de la saisie d'armes nord-coréennes

AFP - 23.02.10 | 18h14

Selon un diplomate parlant sous couvert de l'anonymat, l'Afrique du sud a informé lundi le comité du Conseil chargé de superviser l'application de l'embargo sur l'exportation d'armes imposé à la Corée du Nord de la saisie en novembre de pièces détachées de chars.

Char T55
La résolution 1874 du Conseil, adoptée en juin dernier à la suite d'essais nucléaires nord-coréens, interdit toute exportation d'armes par la Corée du Nord et autorise les Etats à inspecter ses cargaisons.

Le diplomate a précisé que les experts du comité des sanctions du Conseil de sécurité sur la Corée du Nord étaient chargés d'examiner cette affaire.

Un autre diplomate occidental a affirmé, également sous couvert de l'anonymat, que les Sud-Africains avaient agi sur renseignement d'une compagnie maritime française selon laquelle elle devait transporter une cargaison suspecte vers la République du Congo (Brazzaville).

Une inspection par les autorités sud-africaines avait permis de déterminer que la cargaison contenait des pièces détachées de chars T-54 et T-55, a ajouté ce diplomate.

En décembre, les autorités thaïlandaises avaient arrêté cinq personnes, relâchées depuis, et bloqué sur un aéroport de Bangkok un avion cargo de type Ilyoushine transportant des armes de guerre venant de Corée du Nord.

L'équipage avait affirmé transporter du matériel de forage pétrolier destiné à l'Ukraine.

Mais un plan de vol obtenu par les enquêteurs indiquait que la destination finale de l'appareil était Téhéran, ce que l'Iran a démenti.

Les cinq hommes -- un pilote bélarusse et quatre membres d'équipage kazakhs -- avaient d'abord été accusés de possession illégale et de trafic d'armes et de munitions, avant d'être expulsés le 12 février.

© AFP.

Lire la résolution de l'ONU

 

Notre réaction


Les Congolais doivent être diligents et comprendront; cette transaction d'achat de pièces détachés à un pays mis sous embargo de vente d'arme n'est pas anodine. M.SASSOU a transgressé les mesures d'embargo dont il était pourtant signataire lui au même titre que la plupart des pays francophones, emmenés par la France; à la manière d'un maître de classe qui se porte caution du bon comportement de ses élèves et les protège.


Il y' a la nécessité de soulever un certain nombre de questions, lesquelles constitueront un début de réponse sinon de preuve qu'au Congo-Brazzaville on est résolument assis semble t' il sur une bombe à retardement qui attend le feu vert de son ignominie de sa catastrophe née le seigneur SASSOU.


Nous essaierons d'apporter des éléments de réponses à chacune des questions que nous poserons pour orienter la réflexion des uns et des autres.


1-/ La première question est de savoir pourquoi M.SASSOU s'est il senti obligé d'acheteur auprès de la Corée du Nord des pièces de rechanges alors que celle-ci était frappée d'une interdiction d'exportation de ses armes pris par le conseil de sécurité de l'ONU suite à des essais nucléaires.


2-/ SASSOU se serait il risqué sans garantie de la France à passer la transaction en misant sur la seule discrétion de l'opération. Autrement se sentirait sur la sellette car ceci amène une troisième question?.


3-/ Pourquoi alors qu'il était pressenti par ces pères comme le successeur du défunt OMAR BONGO, la France a pour sa part décider de renforcer sa coopération avec le Gabon au point d'y installer sa base militaire permanente? Autrement La France aurait elle préférée ALI BEN à SASSOU?.


Éléments de réponses


Nos compatriotes doivent intégrer le fait que singulièrement pour la cas du Congo-Brazzaville, le spectre de changement de régime déchire dors et déjà le voile de l'horizon. En effet, les questions soulevées forme la résultante d'une stratégie d'intimidation à laquelle se sont livrées le maître et son élève. Résolument ce jeu de la roulette russe ne trompe personne et ne date pas d'aujourd'hui car les relations officio-diplomatiques se sont assez corsées depuis le décès de président Omar Bongo. Tout se résume à une question de crise de confiance et sage de l'Afrique centrale pour la résolution des conflits de la sous -région, car plus vous soulagez la France dans délicate tâche d'asservissement des peuples Africains plus la France vous est reconnaissante; et croyez le bien en la matière cette France si fière d'elle a de la ressource comme par exemple vous permettre de demeurer trente années au pouvoir.


Nous déplorons à l'U.F.P que les acteurs de l'opposition n'aient par poussé comme nous le faisons l'analyse de cette affaire, car la teneur de cette situation aurait du donner à l'opposition l'occasion de rebondir de réagir et de faire valoir les principes de transparence et de sécurité pour les populations Congolaises. Au lieu de cela, l'opposition se taire dans le silence et d'ailleurs il y' a trois semaines l'un des membres les plus éminents de l'UPADS disait aux médias que le Congo n'avait nullement besoin d'opposition. L'État d'esprit des responsables de l'UPADS – du MCDDI – du RDD – RDPS – et encore moins du RMP n'émettront de quelconque commentaires sur ce comportement xénophobe de leur père le très vénérable DENIS SASSOU.


Pour en revenir à notre analyse, vraisemblablement ce choix opéré par le sieur SASSOU de violer délibérément cette résolution onusienne à, nous le croyons été dicté par la volonté première d'acheter des pièces bon marchés ; inscris secondement de le but inavoué de s'affranchir furtivement de sa marraine la France qui a depuis toujours œuvré pour son armement. Mais alors pourquoi ne pas avoir à ce moment là passer commande auprès de pays libre; étant aussi compétitif que la Corée du Nord tel les pays d'Europe de l'est. A Mpila tout porte à croire qu'ils se sont peut être rendus compte que la France à travers ses satellites espions épiaient les faits et gestes du clan présidentiel; ceci ayant à donner à ces derniers toutes les peines du monde. Lorsque entre deux pays, l'un se fait épier constamment par l'autre sans possibilité de contre attaquer à arme égale, la meilleure défense devient la méfiance.

La raison de ce choix inopportun n'est que l'un des séismes qui éfrittent les relations Franco -Congolaise. En effet plusieurs autres facteurs pourraient en être à l'origine, les visites à répétition de la France au Gabon plutôt qu'à Brazzaville – la décision d'installer la base militaire permanente au Gabon plutôt qu'au Congo – Brazzaville. il y' a fort à parier qu'au Pays des droits de l'homme on pensait que l'élève SASSOU avait appris de ses erreurs après avoir tant redoublé; mais hélas l'enfant terrible d'OYO n'avait pas dit son dernier mot. La suite de l'histoire est bien fade, puisque tout le monde s'en doute il n'y aura aucune sanction pour le Congo. L'accord de point d'achèvement PPTE ne sera pas remis en question car le fait d'être un pays pauvre très endetté n'est pas une cause valable d'arrêt d'achat d'armement pour se défendre contre l'oppresseur.


Sas sou a comme l'impression d'être le vieux loup parmi la meute des jeunes et d'ailleurs les autres présidents de sa tanche d'âge sentent le vent tourner au profit des fils plus en phase avec les cinquantenaires Sarkozistes. Le Congo-Brazzaville voit d'un mauvais œil le renforcement des relations franco-gabonaises, c'est la raison pour laquelle SASSOU a entre autre résolu de frapper suffisamment fort pour s'attirer de nouveau les faveurs de la France qui du fait de cette histoire va être rappelée à l'ordre par Les États-Unis – La Russie – La Chine – L' Union Européenne – La Corée du Sud Etc....


Du coup vous apprendrez si ça n'a pas déjà été annoncé l'arrivée toute prochaine de SARKOZY au Congo–Brazzaville profitant de sa tournée en Afrique à la rencontre principalement du Gabon et du Rwanda; pas seulement puisque d'officieuses sont à prévoir dans les pays francophones préparant l'élection présidentiel et oui chers compatriotes. Les affaires sont les affaires.


Pour les population Congolaise, l'insécurité demeure au gré des caprices de chef de l'État qui au de-las de cette tentative de coup d'éclat songe à nommer comme le savez une kyrielle de généraux parmi les quels :

Bonaventure Engobo,ambassadeur et directeur du protocole ; Edgard Nguesso,directeur du domaine présidentiel ;Jean Olessongo, aide de camp principal depuis douze ans ; André Bouagnabea Moundanza, chef d'état-major de la marine ; Philippe Jean-Baptiste Tchicaya, chef d'état-major de l'armée de l'air ; Gilbert Bokemba, commandant de la zone autonome de Brazzaville ; et Marcel Tsourou, secrétaire général adjoint du Conseil national de sécurité (CNS). Entre autres ».


Aux Congolais de la DIASPORA, nous sommes la solution; au lieu de nous entretuer REFLECHISSONS


Le vice-président de l' U.F.P Parfait BONDOUMBOU


LE CONGO D ABORD ET LE RESTE DU MONDE APRES





27/02/2010
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