RENAISSANCE DU CONGO (12.D.G.P.D)

Ntoumi et sa junte de hors la loi quoi en faire?

Le Pool est l'une des régions les plus importantes démographiquement; c'est aussi dans le pool que se trouve la capital politique. Depuis deja quelques années, chacun le sait la région du Pool est la cible, d'un sociopathe et pértendu pasteur du non de Ntoumi. Cet individu et sa milice traumatise les populations du cette localité sans être réellement inquiété par les autorités, alors que peut donc évoquer cette analyse : d'abord ce sentiment laxiste patent des autorités qui semblent incappables de mettre un terme au règne de l'activiste pasteur; de mettre hors d'Etat de nuire la milice qui s'adonne à des actes de vandalisme de pillage; de viol d'intimidation et la liste est malheureusement exaustive. De cette projection découle deux possibilités :

La prémière : Soit nous accordons le bénéfice du doute raisonnable au gouvernement dans son incapacité à règler la situation. Dans ces conditions pourquoi alors ne pas envisager, des sollicitions auprès des nations unies ou de l'U.A (union africaine) afin qu'on dépêche sur le terrain une force de maintient et d'appui à l'armée congolaise pour résolument et de façon chirurgicale en découdre avec la Ntoumi et sa milice. C'est une bonne solution de faire appel  à un contingent militaire extérieur, en vue de solutionner une crise majeur; susceptible au passage de constituer un réel frein au développement économique et social du Pool. Brazzaville n'est pas la seul ville qu'il y'ait dans cette région. L'union Européenne s'il faut en arriver jusque là fournirait pourrait étant observé la bonne santé de nos rapports nous appuyé logistiquement pour que nous démasquions les multiples trous dans lesquels se sont terrées les milices. Après tout un contingent Français a bien oeuvré au côté de l'Etat Congolais en 98 à la capture ainsi qu'à la liquidation des milices sudistes qui tenaient tête à Mpila. 

La seconde hypothèse : Soit le gouvernement Sassou à un réel ennemi, se pourrait être un pays frontalier ou autre, qui tirerait les ficelles entretiendrait Ntoumi et sa milice avec la sacrot-sainte bénédiciton Française. Ce qui indiquerait donc que paris joue un double jeu dont elle a au final toujours le rôle héroique. Ce qui du coup pourrait expliquer que le France tarde à tendre la main à son ami de 30ans le camarade Sassou, le percevant de plus en plus comme une caution moins certaine pour ses intérêts. Configuré ainsi, cela signifierait que le Congo est assi sur une bombe à retardement, et que pour l'heure la minuterie n'ait pas encore été déclanchée par Paris. Se pourrait aussi être un pays autre en Afrique qui aiderait Ntoumi, seulement dans cette hypothèse il apparaitrait incongru d'imaginer un seul instant que Paris et Brazza n'aientt obtenu depuis lors les informations attestant de l'implication d'un pays africain tiers en soutient à la milice. Qu'à partir de cet instant, il aurait été mi un terme à cette rebellion qui empoisonne la quotidient des populations concernées.

La troisième hypothèse : Sassou a crée Ntoumi de toute pièce, le maintient en place dans le pool pour donner le sentiment que Ntoumi est un potentiel libérateur; le digne représentant du Pool. Le président Sassou par le biais peut être de certains hauts responsables militaires Français entreneraient - nourriraient - formeraient la milice Ntoumi à la guerilla comme pour et à la fois perpétuer ce climat de stupeur pour intimider les consciences du Pool et à la fois pour décrédibiliser les responsables du pool. L'idée seraient de faire entrer dans la mentalité Congolaise que les dirigeants du Pool ne sont eux même pas capable de raisonner leur frère Ntoumi, in finé de n'être donc pas capable de diriger à ce moment là toute une nation. En clair faire en sorte que la pays soit constament dirigé par des Nordiste et rien que des Nordistes. C'est du régionalisme et ethnocentrisme rédhibitoire que chacun doit récuser avec patient avec énergie et verve. Cette probabilité est la plus effrayante des trois; beaucoup en conviendront; il ne reste plus qu'à espérer que le Président en exercice ne soit pas inscrit dans ce chémin dantesque aussi inqualifiable qu'inacceptable.

Pour en terminer nous pensons à l'U.F.P qu'il appartient résolument au président de nettoyer cette milice de la passer au carsher; si d'ici là rien n'est fait : sans preuve de ce que nous envisageons, nous laissons à chacun des compatriotes le soin de réfléchir de sonder ces probabilité pour voir ce qui semblerait de leur point de vue se rapprocher le plus possible de la réalité.

Le vice-président de l'U.F.P Parfait BONDOUMBOU