RENAISSANCE DU CONGO (12.D.G.P.D)

RENAISSANCE DU CONGO  (12.D.G.P.D)

L U.PA.D.S 14ans Après pas d'évolution

 

Publié le 10/03/2011

 

 

 

L U.PA.DS La PRINCIPALE FORMATION D OPPOSITION A CE JOUR POURSUIT LE PANSEMENT DE SES BLESSURES 14ans APRES.

 

Ces deux activités marquent la poursuite du processus de réunification enclenché au sein du parti. Cela, pour mettre un terme aux tensions internes, aux divisions et à la crise (qualifiée de « superficielle » par certains cadres du parti au cours de l'échange) qui l'ont caractérisé depuis 20 ans.

 

Des luttes dues, selon Christophe Moukouéké, « à des luttes menées sur la base ethnique en vue du leadership du parti à tel point qu'il est resté une machine électorale et non un parti politique à proprement parler qui doit être avant tout un milieu politique ». 

 

L'entretien entre la délégation de la direction nationale et les cadres du parti au niveau de Pointe-Noire a été une activité prélude à la mise en place des coordinations et des fédérations réunifiées dans les deux départements. Ainsi, Pointe-Noire a été dotée d'une coordination et de six fédérations (Lumumba, Mvou-Mvou, Loandjili, Tié-Tié, Ngoyo et Mongo-Mpoukou).

 

Le Kouilou, quant à lui, a eu droit à une coordination et deux fédérations (celle du Kouilou 1 section de M'Vouti et de Hinda et la fédération du Kouilou 2 section de Madingou Kayes, Kakamoueka et Zambi). Soit un total de 8 fédérations et 2 coordinations pour les deux départements. 

Après les départements de Pointe-Noire et du Kouilou, cette restructuration va se poursuivre dans les autres départements du pays, parce que, selon Pascal Gamassa, il faut installer le parti sur l'ensemble du territoire national : « C'est une tâche qu'il faut accomplir rapidement, c'est aussi la condition pour aller au congrès. » 

Les divisions au sein de l'Upads ont été illustrées par l'existence des partis Upads 2006 et Upads 2009 avant le 13 décembre 2010, date du déroulement de la cérémonie de présentation des instances dirigeantes nationales du parti réunifié (le conseil des vices-présidents de transition, le secrétariat national de transition et la commission nationale de contrôle et d'évaluation). Celle-ci a été organisée sous la présidence de Joselyne Lissouba. À cela, il faut ajouter le 16 janvier, date du lancement officiel de la période de transition. 

 

Le besoin de réunification du parti a été exprimé le 1er septembre 2010 par les dirigeants des deux partis : l'Upads 2006 dirigé par Pascal Gamassa et Pascal Tsati Mabiala, et l'Upads 2009 dirigé par Christophe Moukoueké et Destin Arsène Tsati Mbougou. « Aujourd'hui, la réunification de l'Upads au niveau national est terminée. Cette réunification a été faite selon le principe de légitimé issu des congrès de 2006 et de 2009 et l'application de l'article 17 de la charte de transition qui prévoit l'autostructuration au sein des organes réunifiés », a déclaré Christophe Moukoueké.  

La période de transition qui succède à cette fusion n'est pas sans perturbation. L'affaire de la violation de la charte a été évoquée au cours de l'entretien avec les cadres. À ce sujet, Christophe Moukouéké a expliqué : « S'agissant de la réunification des conseils des vices-présidents de transition, il ya eu un malentendu sur la façon de la conduire qui a produit des incompréhensions, que, j'en suis persuadé, l'esprit d'ouverture par des contacts résorbera dans les jours qui viennent.  

 

Un congrès dit « de la renaissance », consacrant l'unité retrouvée au sein de l'Upads, devrait succéder à la période de transition : « Le congrès que nous allons préparer ensemble est un congrès de la renaissance de notre parti. Cette renaissance que nous souhaitions tous implique que nous soyons sérieux et exigeants vis-à-vis de nous-mêmes. Il faut préparer le parti à devenir un véritable milieu politique pour des combats d'idées qui se substitueront aux seules luttes de positionnement d'aujourd'hui qui le fragilisent en permanence et le rendent inapte à faire face aux nombreux défis nationaux que nous avons à relever. » 

 

Une présentation des responsables des organes de transition a aussi été faite au cours de deux activités. Ainsi, la commission nationale de contrôle et d'évaluation de transition est dirigée par Martial de Paul Ikounga (Upads 2006) et Dominique Boulounda (Upads 2009), respectivement président et vice-président. Au secrétariat national il y a Pascal Tsati Mabiala (Upads 2006), secrétaire général, et Destin Arsène Tsati Mboungou (Upads 2009), porte-parole du parti. Pascal Gamassa (Upads 2006) est premier permanent et Christophe Moukouenké (Upads 2009) deuxième permanent du conseil national des vices-présidents. 

 

 

L'analyse de PARFAIT BOND

conepteur de renaissance

 

 

L U.P.A.D.S a le rythme dur, 14ans plus tard elle continue de s'éffriter du fait des égauts sans borne des ses différents dirigeants. 14ans après, cette formation ne parvient toujours pas à se trouver un dirigeant naturel. Lorsque l'on est incapable de se discipliner au sein d'une formation, il est clair et évident que cette incapacité serait démultipliée dans le cadre de la gestion des affaires du pays.

Ne demandez pas à quelqu'un de sauter en parachute alors qu'il a peur de l'avion, l U.P.AP.D.S en tout cas à l'égard de ses dirigeants est une formation non crédible puisque chacun y va de ses ambitions personnelles, car craignent ils de ne pas avoir une part du gateau  suffisament grande. Plutôt que de se choisir un leader naturelle, qui à passer par des primaires, on préfère la configuration multicéphale tout en se disant parti réunifié : c'est proprement abbérant, tout cela établi à siffisance la petitesse de l'état d'esprit de ces barons nostalgiques de leurs gloires passées.

 

 

Je déplore, cette ambiguité savament entretenue qui au surplus roule dans la farine des milliers de sympathisants et militants convaincus, de la résurgence de l'U.P.A.D.S par opposition à cette vindicte populiste consiste à dépeindre SASSOU NGUESSO comme un dangereux délinquant de la haute finance, un suppot du MAL qui évicère l'économie congolaise, un être qui mériterait d'être pendu manu militari.

 

Je constate simplement, que présentement le CONGO est un pays en chantier, tant il y'a de matérialisations qui vont à non point douter soulager et soulageant dors et déja les populations congolaises. Cela indibutablement ne retire rien, aux précédents bilans quasi négatifs de SASSOU, source du grand retard qu'accuse le CONGO aujourd'hui sur; et c'est une réalité presque tous les plans. Au demeurant, et compte tenu de climat économique prévalant au CONGO, les congolais auraient de bonnes raisons d'espérer de nettes améliorations de leurs conditions de vies (ce qui est différent des conditions  sociales) au regard des travaux multisectoriels engagés ça et là sur l'étendu du territoire.

 

TOUT POLITIQUE REPONSABLE DOIT AVOIR SA PART DE REAL POLITIQUE ET DE DISCOURS RESPONSABLE.

 

 

Il serait irresponsable au jour d'aujourdhui de monter un congolais contre un autre, par responsables et partis politiques interposés. D'encourager à l'ethnophobie; et dire que les Mbochis doivent être éliminés, que leur chefs doit être chassés par tous moyens et comme je l'entend régulièrement de rabacher que tous les mbochis profitent du pouvoir. CE QUI EST ABOSULEMENT FAUX.

 

La guerre des mots ciblés sencés définir l'autre ethnie comme, étant la source du MAL est bien souvent la racine de tout GENOCIDE et l'histoire s'en est illustrée au cours des dernières décennies.

 

J invite chaque Congolais ou qu'il soit à ne pas nourrir; à congédier toutes idées d'alimentation de débats à caractère tribal; ceux qui s'en font les promotteurs, voudront demain s'exonérer de leur responsabilités lorsque de la théorie; l'exacerbatrion du tribalisme engendra un départ de guerre civile ethnique entre Nordistes et Sudistes. Ce jour là, avec d'autres nous trouverons les coupables de ce conflit, et nous nous battrons afin que ces derniers soient traduits devants les tribunaux compétents pour s'expliquer.

 

 

Le tribalisme est au Congo-Brazzaville ce qu'est L'islam en FRANCE; des sujets sensibles, d'une extrême délicatesse qu'il faut aborder avec grand soin, sans passion; sans haine et ceux de manière totalement désintéréssée. Il faut savoir ne pas être juge et parti dans la vie, lorsqu'on a été victime directe d'une guerre civle sur fond tribal, et qu'on en a été affecté, on devient dès lors partial en perdant toute notion de neutralité. Hors il se trouve que le débat tribal, doit avoir comme préalable la neutralité sans laquelle les différents intrervenants ne pourraient pas avec sagesse parvenir à des conclusions justes et utiles.  

 

 

 

       LE CONGO D ABORD ET LE RESTE DU MONDE APRES



10/03/2011
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