RENAISSANCE DU CONGO (12.D.G.P.D)

RENAISSANCE DU CONGO  (12.D.G.P.D)

Ces pseudo candidats seront ils finalement remerciés

Les vrais faux opposants de Sassou à la présidentielle 2009 se dévoilent au grand jour

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Parmi les 13 candidats en lice à la présidentielle du 12 juillet 2009 au Congo, six sont illustrés comme faisant partie de l’opposition politique rangée autour du Front uni des partis de l’opposition baptisée à tort ou à raison de radicale. Dans cette course à la présidentielle 2009, bien d’autres candidats se sont déclarés indépendants, ou classés dans l’opposition dite modérée au regard de leur prise de position moins tranchante à celle du Front uni de l’opposition congolaise.

Que s’est-il passé au cours de ce scrutin présidentiel ? 

 

 La lecture de l’environnement politique au Congo dans la préparation de l’organisation de l’élection présidentielle du 12 juillet 2009 dans le pays a suscité certaines interrogations sur l’appartenance politique réelle des candidats de l’opposition dite modérée, surtout des soi-disant indépendants à cette échéance électorale dont les résultats provisoires sont contestés par l’opposition radicale.

Dans cette dynamique qui serait inspirée par une logique d’accompagnement du candidat Eléphant du RMP, véritable machine électorale dotée des moyens colossaux et des supports informatifs à couvrir toute la population congolaise évaluée à près de 3.500.000 habitants.

A cet effet, le corps électoral mal maîtrisé oscillant entre 1,8 million et 2,2 millions d’inscrits sur les listes électorales a divisé en bloc la classe politique congolaise dans sa majorité et en dépit des incohérences constatées depuis les législatives de 2007 et locales de 2008 au Congo.

Certains candidats ont manifesté leur désir de vrai faux opposants, démasqués par le peuple souverain, à travers leurs appétits égoïstes du gain facile auprès du pouvoir de Mpila pour services

rendus dans le jeu démocratique hostile à l’alternance politique attendue depuis 25 ans par les populations congolaises qui croupissent dans la misère, suivant les indicateurs économiques des institutions financières internationales.

Cette synergie concertée de certains candidats selon plus d’une personne, acquis à la cause de Sassou-Nguesso s’inscrit dans le nouveau programme du prochain septennat « Le Chemin d’Avenir» qui déclasse la «Nouvelle espérance», en s’articulant autour des accords tacites de gouverner ensemble pour la période 2009-2016 sous le règne de Sassou V.

Sa Majesté Sassou V a tout gagné 

La résignation du peuple congolais et des grandes puissances est totale dans le pays, au regard de la mascarade électorale vécue par plusieurs personnes.

Sa Majesté Sassou V a tout gagné, de l’achat des consciences des populations démunies, en passant par une mobilisation d’une jeunesse abusée des hommes et des femmes avec la distribution automatique des billets de banque et autres supports de campagne déversés à travers le pays pour des montants exorbitants dépassant plusieurs dizaines de milliards de FCFA, selon certaines sources concordantes proches duTrésor Public et de la Présidentielle de la République, engagées dans le processus démocratique au Congo, épris de paix et de justice.

Sa Majesté Sassou V a réussi dans sa stratégie de mise en œuvre de «Chemin d’avenir», faire table rase du passé sinistre de 25 ans de pouvoir sans partage dans la Nouvelle espérance.

Attendant de voir réaliser ce qui n’a pas été eu 25 ans, s’ajoutent les 7 ans à venir pour accomplir les 32 ans de règne de Sa Majesté. Le Roi de Mpila, risquerait de procéder au changement de la

Constitution en cours de mandant, afin d’arrimer le Congo vers la dynastie Sassou-Nguesso, avec une kyrielle de prétendants entre les fils et filles légitimes et les autres parents consanguins de la monarchie du pouvoir Sassou.

Le mérité de certains candidats

Ainsi, certains candidats se sont distingués des autres candidats en lice à ce scrutin présidentiel dans leurs capacités de trahir les espérances du peuple. De plus en plus, dans la rue, on parle, du second sur la liste des présidentiables au Congo, M. Joseph Kignoumbi Kia Mboungou qui serait accroché aux soins de Mpila depuis 2002 en dépit de son appartenance politique à l’UPADS – parti de l’opposition radicale, d’où il détient un mandat à l’Assemblée nationale. La caution financière serait le prix à payer pour trahir la cause nationale du changement radical.

  Les observateurs avertis ont également classifié trois autres candidats dans cette liste des troubles fêtes, qui seraient acquis à la cause du pouvoir Sassou-Nguesso, espérances du peuple. De plus en plus, dans la rue, on parle, du second sur la liste des présidentiables au Congo, M. Joseph Kignoumbi Kia Mboungou qui serait accroché aux soins de Mpila depuis 2002 en dépit de son appartenance politique à l’UPADS – parti de l’opposition radicale,

d’où il détient un mandat à l’Assemblée nationale. La caution financière serait le prix à payer pour trahir la cause nationale du changement radical.

Les observateurs avertis ont également classifié trois autres candidats dans cette liste des troubles fêtes, qui seraient acquis à la cause du pouvoir Sassou-Nguesso, afin de jouer à la diversion politique durant ce scrutin présidentiel 2009, à travers les moyens mis à leur disposition.

Connaissant les hommes que composent la classe politique congolaise, à l’image des leaders charismatiques comme Bernard Bakana Kolélas du MCDDI, Jacques Joachim Yombi-Opango du RDD, le patriarche David Charles Ganao, tous ont trahi leurs idéaux primaires pour les tronquer contre les intérêts égoïstes et pécuniaires.

L’histoire d’escroquerie politique se répète toujours durant les échéances électorales au Congo, le trafic d’influence et la corruption, des leaders devient monnaie courante de ces dernières années du pouvoir de Mpila.

A ce titre, la politique du ventre prime sur les convictions idéologiques

des partis et des militants dévoués à la cause démocratique faite d’un fondement juridique basé sur l’alternance politique dans les institutions constitutionnelles d’un Etat de droit.

Qui a financé la campagne de X et Y ?  

  A cette question, le peuple souverain détient la vraie réponse, au détriment des résultats tronqués des urnes basés sur des chiffres invraisemblables issus d’une manipulation dans les bureaux de vote, en faveur du candidat Sassou-N’guesso qui a triomphé sans gloire, dans une élection gagnée d’avance.

 En évaluant les moyens logistiques déployés par certains candidats, le doute est permis de croire à leurs propres investissements.

 Car, l’environnement économique de chaque candidat indépendant engagé dans le scrutin présidentiel 2009, ne correspond pas à la campagne réalisée dans les départements du pays, par ces derniers bien connus du peuple.

 Se référant à la parole de Dieu, nous convenons que «si la main gauche donne, la main droite ne doit pas être au courant de la transaction».

 En effet, entre la majorité présidentielle et l’opposition congolaise modérée ou radicale, il n’y a eu que la passerelle des indépendants et autres centristes qui ont joué le jeu de la démocratie de salon, en tissant des accords secrets avec le pouvoir de Mpila, pour gouverner ensemble en lui assurant une victoire au premier tour.

  S’il y a un conseil à donner à Denis Sassou N’Guesso, c’est de lui dire de ne plus contracter des alliances avec ces faux opposants mais plutôt il faut d’abord régler en profondeur les problèmes qui minent la famille biologique, politique et compagnie. Car, rien ne sert de courir quand on sait qu’on a n’a pas encore vidé son sac.

A bon entendeur salut.

Affaire à suivre.

Ghys Fortune DOMBE BEMBA

Tous droits de reproduction réservés TALASSA 

 



11/08/2009
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