RENAISSANCE DU CONGO (12.D.G.P.D)

RENAISSANCE DU CONGO  (12.D.G.P.D)

Actualités des présidentielles 2009


REMANIEMENT MINISTER

 

 

 

DERNIER REMANIEMENT ISSU DU 12.12.2011

 

 

-    Ministre d’Etat, coordonnateur du pôle des infrastructures de base, ministre des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande :
M. Isidore Mvouba

2-    Ministre d’Etat, coordonnateur du pôle économique, ministre de l’économie, du plan, de l’aménagement du territoire et de l’intégration :
M. Pierre Moussa

3-    Ministre d’Etat, coordonnateur du pôle de la souveraineté, garde des sceaux, ministre de la justice et des droits humains :
M.  Aimé Emmanuel Yoka

4-    Ministre d’Etat, coordonnateur du pôle socioculturel, ministre du travail et de la sécurité sociale :
M. Florent Tsiba

5-    Ministre d’Etat, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé :
M. Rodolphe Adada

6-    Ministre des finances, du budget et du portefeuille public :
M. Gilbert Ondongo

7-    Ministre des affaires étrangères et de la coopération :
M. Basile Ikouébé

8-    Ministre de l’intérieur et de la décentralisation :
M. Raymond Zéphyrin Mboulou

9-    Ministre des mines et de la géologie :
M. Pierre Oba

10-  Ministre du développement durable, de l’économie forestière et de l’environnement :
M. Henri Djombo

11-  Ministre de la fonction publique et de la réforme de l’Etat :
M. Guy Brice Parfait Kolelas

12-  Ministre de l’enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi :
M. André Okombi Salissa

13-  Ministre de la construction, de l’urbanisme et de l’habitat :
M. Claude Alphonse Nsilou

14-  Ministre de l’équipement et des travaux publics :
M. Emile Ouosso

15-  Ministre à la présidence, chargé de la défense nationale :
M. Charles Zacharie Bowao

16-  Ministre de l’agriculture et de l’élevage :
M. Rigobert Maboundou

17-  Ministre des petites, moyennes entreprises et de l’artisanat : Mme Adélaïde Mougany

18-  Ministre du commerce et des approvisionnements :
Mme Claudine Mounari

19-  Ministre de l’enseignement primaire, secondaire chargé de l’alphabétisation :
Mme Rosalie Kama Niamayoua

20-  Ministre de la pêche et de l’aquaculture :
M. Hellot Mampouya Matson

21-  Ministre de la recherche scientifique :
M. Bruno Jean Richard Itoua

22-  Ministre de l’énergie et de l’hydraulique :
M. Henri Ossébi

23-  Ministre des postes, des télécommunications et des nouvelles technologies de la communication :
M. Thierry Moungalla

24-  Ministres des hydrocarbures :
M. André Raphaël Loemba

25-  Ministre de la culture et des arts :
M. Jean Claude Gakosso

26-  Ministre des affaires sociales, de l’action humanitaire et de la solidarité :
Mme Emilienne Raoul

27-  Ministre à la présidence chargé des zones économiques spéciales :
M. Alain Akouala Atipault

28-  Ministre de la santé et de la population :
M. Georges Moyen

29-  Ministre de l’enseignement supérieur :
M. Ange Antoine Abena

30-  Ministre de l’industrie touristique et des loisirs :
M. Mathieu Martial Kani

31-  Ministre des affaires foncières et du domaine public :
M. Pierre Mabiala

32-  Ministre de la communication et des relations avec le parlement, porte parole du Gouvernement :
M. Bienvenu Okiemy

33-  Ministre des sports et de l’éducation physique :
M. Léon Alfred Opimbat

34-  Ministre de la promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement :
Mme Madeleine Yila Boumpoto

35-  Ministre de l’éducation civique et de la jeunesse :
M. Anatole Collinet Makosso

36-  Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, chargé de la marine marchande :
M. Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou

37-  Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre de l’économie, du plan, de l’aménagement du territoire et de l’intégration, chargé de l’aménagement du territoire et de l’intégration :
M. Josué Rodrigue Ngouonimba.     


11/01/2012
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l'UE et la France assisterons le CONGO dans sa phase crucial allant du jour du vote au résultat final

 

Congo/Pésidentielle: Le chef de la délégation de l’Union européenne s’explique

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En marge de la signature de deux conventions avec le gouvernement, le chef de la délégation européenne au Congo, Miguel Amado, a abordé avec Les Dépêches de Brazzaville la question de la présence ou non des observateurs de l’Union européenne (UE) à l’élection présidentielle du 12 juillet. Sur cette question déjà évoquée par deux parlementaires européens en séjour à Brazzaville, Miguel Amado a ajouté qu’il y aura une assistance technique des Nations unies auprès de la Commission nationale d’organisation des élections. Mais il a répété qu’en principe, «c’est le pays qui

demande des observateurs», ajoutant :«l’observation électorale est chère». Le chef de délégation de l’UE a néanmoins déclaré qu’il est en liaison permanente avec le gouvernement et l’opposition.

«C’est le pays qui demande l’observateur. Le Congo n’est pas dans la liste prioritaire pour l'observation. Mais il ne faut pas oublier qu’il y a déjà des observateurs africains sur le territoire.Nous comptons également sur une assistance technique des Nations unies auprès de la Commission nationale d’organisation des élections (Conel) et de la Direction générale des affaires électorales (DGAE)».

Nous avons déjà quelques observateurs européens «Je suis un observateur aussi.

Le jour de l’élection, je ferai le déplacement après l’accord du ministère des Affaires étrangères. Je me placerai dans les bureaux de vote pour vérifier le déroulement des élections. Mais il faut aussi que je vous dise que je ne suis pas mobilisé pour le moment. Pourtant, je contacte avec une certaine fréquence le ministre de l’Administration du territoire pour parler avec lui de mes préoccupations concernant ces élections. Je pense que c’est là une façon d’observer également à titre préventif».

Je suis en contact permanent avec le gouvernement

«Je ne vous cache pas que je suis aussi en contact avec l’opposition. De temps en temps, on se voit et on évalue le niveau des préparatifs. On fait du travail de suivi à tous les niveaux. Rien n’est parfait dans les questions électorales, il y a souvent des choses à corriger. En ce moment, je ne peux pas vous dire les conclusions de ce travail, parce que c’est trop tôt. Mais je suis en dialogue permanent avec toutes les parties pour discuter de l’organisation des élections. C’est sûr, je serai un observateur attentif».

Publie 02/07/2009


02/07/2009
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NICK FILLA menace de se retirer

 

Lettre ouverte de l’Opposition modérée au pouvoir

Des Partis politiques de l’Opposition ayant pris part à la concertation politique du 14 au 17 avril 2009

A Monsieur  le Ministre de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation

                                  A propos de la mise en œuvre des conclusions de la concertation politique

 

Monsieur le Ministre,

          Dans un esprit constructif et républicain, nous avons participé à la Concertation politique du 14 au 17 avril 2009 initiée par le Gouvernement, en vue d’une élection présidentielle organisée de façon démocratique dans le souci d’apaisement du climat politique.

         Les conclusions consensuelles de cette concertation ont suscité de réels espoirs de conduire le processus électoral avec plus de transparence, en corrigeant quelques dysfonctionnements observés lors des élections antérieures par les moyens:

· de l’instauration des principes de parité et d’égalité dans la composition de tous les organes de la CONEL de la base au sommet (bureaux de vote, commissions locales, commissions départementales, comité de suivi et de contrôle, comité technique, coordination);

· de l’égal accès de toutes les sensibilités politiques aux médias d’Etat;

· la libre circulation des acteurs politiques sur toute l’étendue du territoire national et le libre exercice des activités des partis politiques;

· de la neutralité de la force publique;

· de la nécessité d’impliquer toutes parties dans le processus électoral pour le vérification des listes électorales et la distribution des cartes d’électeurs;

· de la prise en charge par l’Etat des délégués de l’administration, de la majorité, de l’opposition, des partis du centre et autres partis, de la société civile dans toutes les structures de la CONEL, notamment dans les bureaux de vote sur l’ensemble du territoire national;

· du financement des partis politiques par l’Etat.

          Au sortir de la concertation politique, des décrets présidentiels ont confirmé ces principaux points d’accord. Mais sur le terrain, l’application de toutes ces décisions ne se réalise pas de façon effective.

         En effet, les textes d’application sont publiés dans une extrême lenteur par le Ministère de l’Administration du territoire, et la CONEL fonctionne comme si la Concertation politique ne s’est pas tenue, car;

· les listes électorales ont été révisées en dehors de toutes les procédures consensuellement arrêtées;

· le nombre des représentants des partis de l’opposition a été réduit dans les structures de la CONEL sans aucune explication;

· les missions de sensibilisation sur les acquis de la Concertation politique sont gelées;

· les cartes d’électeurs se distribuent actuellement en flagrante contradiction avec les dispositions définies par l’arrêté du Ministre de tutelle;

· le corps électoral et le nombre de bureaux de vote ne sont toujours pas connus à quelques jours de l’ouverture de la campagne électorale;

· les partis politiques sont placés dans l’impossibilité de désigner leurs représentants dans les bureaux de vote.

         Face à cette situation préoccupante, les partis de l’opposition ayant participé à la Concertation politique s’indignent fortement de la tournure que prend la mise en œuvre du processus électoral.

         Cette manière d’agir du Gouvernement et de la CONEL place l’ensemble de ces partis politique devant leur responsabilité historique et le devoir républicain d’informer l’opinion nationale et internationale sur la dérive du processus électoral du Congo.

         Par conséquent, les candidats déclarés à l’élection présidentielle issus de l’opposition ayant participé à la Concertation politique annoncent leur intention de se retirer du processus électoral, si le Gouvernement et la CONEL continuent à saborder les conclusions consensuelles et ne créent pas les conditions d’une application systématique et rigoureuse des décisions issues de la Concertation politique du 14 au 17 avril 2009.

Comptant sur votre diligence,

         Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en notre sentiment de franche et sincère collaboration.

Les candidats de l’opposition ayant participé à la concertation politique

 Fait à Brazzaville, le 18 juin 2009

 

Pour les Partis Politiques de l’Opposition ayant pris part à la concertation politique du 14 au 17 avril 2009.

Posté le 02/07/2009


02/07/2009
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LES CONGOLAIS VEULENT UN AVIS

Congo-Présidentielle 2009 : Ministre et membre de l’équipe de campagne d’un candidat, la cour constitutionnelle devrait donner son avis.

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L’équipe de campagne du candidat Denis Sassou Nguesso, est désormais connue. Firmin Ayessa, Guy Brice Parfait Kolélas, André Okombi Salissa, Thierry Moungalla, Henri Djombo, Gilbert Ondongo, Alain Akouala Atipault, Henri Ossebi, Adelaïde Moundélé-Ngollo, Jean-Claude Gakosso, Basile Ikouebé tous ministres de la République et François Ibovi vice-président de l’assemblée nationale sont membres de cette équipe.

Les congolais se posent la question de savoir si, ces personnalités sont membres de cette équipe de campagne en qualité de ministre de la République ou de simple citoyen ? Puisque la loi voudrait que tous les candidats soient traités de façon égale, Denis Sassou Nguesso laisse pendant cette période de campagne électorale, sa veste de président de la République. Alors ces ministres, devraient ils également laisser les fonctions de ministre de la République pour devenir simplement membre de l’équipe de campagne comme le sont d’autres congolais auprès d’autres candidats ou faire les deux ?Comment savoir dans cette période si le déplacement du ministre des affaires étrangères par exemple, s’inscrit dans le cadre de son rôle dans l’équipe de campagne du candidat Denis Sassou Nguesso ou dans sa fonction d’état de ministre. Comment le conseil national de l’audiovisuel va distinguer dès lors, l’apparition, de ces ministres dans les medias d’état en qualité de ministre ou de membre de l’équipe de campagne pour ne pas fausser le traitement médiatique des différents candidats.

Les déplacements de ces ministres, doivent ils désormais être financés par la campagne du candidat Sassou ou par l’état ? Quelle structure doit dorénavant s’assurer de la séparation des rôles entre Basile Ikouébé ministre des affaires étrangères et Basile Ikouébé porte-parole pour les affaires diplomatiques de la campagne du candidat Sassou.

Sous d’autres cieux, pour des raisons d’éthique et de respect de la fonction même de ministre, ces personnalités auraient démissionné pour assumer leurs nouvelles fonctions. Mais nous sommes au Congo, la démission n’est pas dans les mœurs de tous, on ne peut donc pas attendre de ces gens un tel geste d’une certaine élégance. Puisque dans l’entendement du pouvoir, c’est l’administration et donc le gouvernement qui organise les élections y compris la présidentielle, la logique veut que cette même administration ne soit pas partie prenante. Or, la composition de l’équipe de campagne du candidat Sassou par ailleurs président sortant est la preuve de la partialité du gouvernement. Le ministre de l’administration du territoire en charge de l’organisation des élections ne fait pas partie de l’équipe, mais nous estimons qu’il n y a pas de différence à le voir membre de cette équipe qu’avoir un autre membre du gouvernement figurer de cette équipe.

Aussi, nous demandons aux magistrats de la cour constitutionnelle de faire pour une fois honneur à ce qui reste de la justice congolaise et demander simplement à ces ministres de choisir d’être membre d’une équipe de campagne ou d’être ministre de la République mais pas les deux. Bref, que la cour constitutionnelle donne son avis sur cette question.

ARNAUD BLAISE MAKOSSO

 

http://www.alternance-congo.com 


18/06/2009
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17 Candidats prétendent pour un fauteuil que le meilleur gagne

                       Les jeux sont ouverts places aux mises

BRAZZAVILLE (AFP) — Dix-sept candidats, dont l'actuel président congolais Denis Sassou Nguesso, sont en lice pour l'élection présidentielle du 12 juillet après la clôture des inscriptions vendredi à minuit, a annoncé samedi un responsable officiel. "Nous avons enregistré dix-sept dossiers de nos citoyens qui ont été actés par un huissier. Ces dossiers seront transmis aujourd?hui (samedi) à la Cour constitutionnelle pour examen et validation", a déclaré à la presse le directeur général des affaires électorales, Antoine Evoundou.

"Nous espérons que la Cour constitutionnelle va statuer rapidement afin de nous permettre d?imprimer les bulletins des candidats pour qu?ils soient en place le 12 juillet", a ajouté M. Evoundou.

Selon les observateurs, pour le scrutin du 12 juillet, outre le chef de l'Etat sortant, les candidatures les plus en vue sont celles de Mathias Dzon de l'Alliance pour la République et la démocratie (Ard), Ange Edouard Poungui de l'Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads) et de Guy-Romain Kimfoussia de l?Union pour la démocratie et la République (Udr-Mwinda), également président du Front uni des partis de l'opposition (Fupo), rassemblant les principales formations de l'opposition.

Trois de ces dix-sept candidats enregistrés ont pris part au scrutin de 2002: Denis Sassou Nguesso, Joseph Kignoumbi Kia-Mboungou et Bonaventure Mizidy (indépendants).

Le scrutin sera organisé par la Commission d?organisation des élections (Conel) dont l?impartialité est mise en cause par l?opposition.

Les élections législatives de 2007 et locales de 2008, organisées par cette structure, avaient été marquées par la fraude et des dysfonctionnements dénoncés notamment par les observateurs de l'Union africaine (UA).

Le Congo a connu au cours de la dernière décennie des périodes de guerre civile qui ont fait des milliers victimes. Selon des analystes, ces conflits sont tous liés à l'organisation d'élections.

Les candidats:

Denis Sassou Nguesso (Parti congolais du travail)

Mathias Dzon (Alliance pour la démocratie et la République)

Ange Edouard Poungui (Union panafricaine pour la démocratie sociale)

Guy-Romain Kimfoussia (Union pour la démocratie et la République)

Clément Miérassa (Parti social démocrate congolais)

Nicéphore Fylla de Saint-Eudes (Parti républicain libéral)

Bonaventure Mizidy (Indépendant)

Christophe Moukouéké (dissident de l?UPADS)

Jean-François Tchibinda Kouangou (indépendant)

Marcel Guitoukoulou (indépendant)

Anguios Nganguia Engambé (indépendant)

Bertin Pandi Ngouari (indépendant)

Marion Manzimba Ehouango (Association Marien Ngouabi Ethique)

Joseph Hondjuila Miokono (opposant dit modéré)

Rigobert Ngouolali (opposant dit modéré)

Joseph Kignoumbi Kia Mboungou (indépendant)

Jean Jim Ebina (indépendant)

 

Article publié le 18/06/2009


18/06/2009
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